la Pussyteam
Nathalie Bru :
Nathalie Bru aime la musique dans les mots et les mots dans la musique.
Les écritures qui claquent, celles qui font rire ou tanguer. Quand elle
était petite, des vaches passaient parfois dans son jardin. Adulte, elle
a habité longtemps dans le bitume, des deux côtés de l’Atlantique.
Maintenant elle a souvent du sable entre les orteils et elle aime bien
marcher pieds-nus. Elle dit "chocolatine".
Marguerite Capelle :
Marguerite traduit de l’anglais. En quelques années, elle a exploré les rues de Lagos, New York, Trenton, Glasgow, Hartford, Saïgon, Venice, Corfou, Londres, les forêts de Colombie Britannique ou le désert Mojave. Elle a appris à manier un colt, à dresser les pitbulls, découvert la sexualité des hommes-sirènes et la cosmologie igbo, est devenue incollable sur la filmo de Billy Wilder, le séchage du tabac, le Bel au bois dormant et le foot féminin. Marguerite traduit avec enthousiasme les textes féministes, et la chatte n’a plus de secrets pour elle. A ses heures perdues, elle est aussi interprète sur scène, à la radio, en librairie ou sur les routes.
Gaëlle Cogan :
Gaëlle Cogan (she/her/elle) est née en 1985 dans une famille franco-américaine. Plus à l’aise dans l’entre-deux, elle manie depuis l’enfance les anglicismes sauvages, et ça ne s’est pas amélioré après ses études de littérature. Elle vit et travaille à Lausanne.
Fabienne Gondrand :
Fabienne Gondrand aime lire, s’asseoir dans une salle de cinéma, grimper
aux arbres et moudre le café. Elle dessine des plans, classe à peu près
tout par ordre alphabétique et se demande souvent si la fiction n’est
pas plus importante que la réalité. Pour répondre à cette vaste
question, elle traduit des livres.
Sarah Gurcel :
Sarah est traductrice sous le nom de Gurcel, comédienne sous celui de Vermande, et quand elle traduit le discours de l’Etatsunienne Pauline Leet où apparait pour la première fois le mot « sexisme », forgé sur celui de «racisme», elle signe – allez savoir – Sarah Gurcel-Vermande.
On l’a connue cassant l’ambiance de l’entre soi-masculin avec le
groupe d’activistes La Barbe !, et si elle n’a jamais eu de goût pour
les sports collectifs, elle aime en revanche beaucoup traduire à
plusieurs.
Valentine Leÿs :
Valentine Leÿs est née en 1977 et a étudié les lettres à Paris avant de
filer à Londres où elle a vécu pendant une dizaine d’années et débuté sa
carrière de traductrice. Elle traduit des textes de littérature et de
sciences humaines. Elle est aussi interprète de conférence à Marseille.
elle a traduit
- Elisabeth Amerein-Fussler
- Juliette Barbara
- Caroline Bouet
- Anaïs Bouteille-Bokobza
- Jean-Baptiste Coursaud
- Joséphine De Wispelaere
- Laëtitia Devaux
- Abel Gerschenfeld
- Fabienne Gondrand
- Emmanuelle Heurtebize
- Violaine Huisman
- Juliette Barbara, Abel Gerschenfeld et Anatole Muchnik
- Valentine Leÿs
- Madeleine Nasalik
- Lori Saint-Martin et Paul Gagné
- Mathilde Tamae-Buhon
- Delphine Valentin
- Aline Valesco
- Voir nos traducteur·rice·s